Dans leurs rêves les plus fous, ils n’auraient jamais cru cela possible. George W. Bush, leur antihéros américain, tentant d’injecter des centaines de milliards d’argent public... Les gouvernements européens nationalisant des institutions bancaires... Nicolas Sarkozy, qu’ils croyaient acquis aux apôtres du laisser-faire, assénant : "L’idée que les marchés ont toujours raison est une idée folle." Comme cela sonne doux à leurs oreilles ! Si l’économie (...)