De puis l’imposition de « l’état d’urgence », un régime dont le véritable nom est loi martiale, plus de 10.000 militants politiques et sociaux ont été mis derrière les barreaux partout au Pakistan. Des milliers d’autres sont aujourd’hui clandestins. Toutes les chaines de télévisions privées qui diffusaient des programmes d’information politique ont été réduites au silence.
Des centaines d’avocats ont été arrêtés et torturés. Les juges qui ont (...)