Samedi 20 octobre : plus d’un million de personnes manifestent à Rome contre la précarité, en dépit de l’interdit de manifester lancé par la direction de la plus puissante centrale syndicale, le CGIL, dont les dirigeants inféodés au nouveau « Parti Démocrate » font ce qu’ils peuvent pour faire avaler aux travailleurs la politique de Romano Prodi, une version à peine repeinte en rose pâle de la politique de Silvio Berlusconi, à qui, d’ailleurs, les ex-DS comme (...)