Les déçus de la gauche ne manquent pas. Il ne faudrait pas qu’ils manquent bêtement à la gauche... Certains d’entre eux semblent prêts à toutes les infidélités. S’il en est une qu’il faut ramener à ce qu’elle est - un vote de droite -, c’est bien la tentation du vote François Bayrou. Or le leader centriste, qui fait un tabac dans les sondages, rogne allègrement sur les suffrages de la gauche.
"L’effet Bayrou" marche notamment chez les (...)