Le Parti socialiste a perdu hier soir plus de 100 villes de plus de 10 000 habitants. L’électorat populaire n’a pas voulu se mobiliser pour renverser les situations et a confirmé son choix du premier tour. Les noms de villes dont le PS avait fait le socle de son influence tombaient peu à peu comme des prises de guerre de l’UMP : Toulouse, Limoges, Belfort, Nevers, Roubaix, Tourcoing, Angers, Pau, Saint-Étienne, Reims, Quimper, Brive-la-Gaillarde, Laval, Périgueux…