Chirac, conscient de la maigreur de son bilan, tient au moins à figurer dans les manuels de droit. D’où la énième modification de la Constitution (la 16ème en douze ans ! De Gaulle l’a modifié deux fois, Mitterrand quatre), portant à la fois sur le statut pénal du chef de l’Etat, le corps électoral en Nouvelle Calédonie et l’abolition de la peine de mort.
Evidemment, c’est le premier volet de cette révision qui est dans la lumière. Inspiré des conclusions du (...)