Le premier ministre portugais, le socialiste José Socrates, qui s’était personnellement impliqué dans la campagne référendaire pour dépénaliser l’interruption de grossesse, l’a annoncé dès les premiers résultats : "L’avortement cessera d’être un crime" au Portugal. Plus de 59 % des électeurs ont répondu "oui", dimanche 11 février, à la question qui leur était posée : "Êtes-vous d’accord pour dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse (IVG), (...)