Dire que ces deux-là se détestent est un doux euphémisme. Depuis des années, François Grosdidier (UMP) et Jean-Louis Masson (divers droite), tous deux sénateurs de la Moselle, se vouent une haine incandescente dont ils entretiennent les braises àcoups de procédures judiciaires, de déclarations assassines et de candidatures dissidentes plus ou moins téléguidées.
Tous les coups sont permis entre ces deux frères ennemis de la droite messine mais cette fois, on frise l’opération de (...)