2006 était un cru exceptionnel, 2007 pourrait s’avérer meilleur encore. La mondialisation, c’est d’abord cela : une formidable accélération des profits et des circulations de valeurs, un Monopoly virtuel où l’on vend et l’on achète, où les pions des usines sont balayés ou déplacés, sans égard pour les ravages collatéraux sur les populations concernées.
Près de 4000 milliards de dollars de fusions et acquisitions sont au programme. Les fonds (...)