mardi 1er juin 2010
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Je racontais dans ma précédente note grecque d’hier comment l’extrême droite et ce patron grec qui cherche à devenir un nouveau Berlusconi s’étaient fort heureusement pris les pieds dans le tapis au démarrage de la course de vitesse qui s’engage avec l’autre gauche. Il ne faut pas en déduire qu’ils seraient éliminés d’entrée de jeu. Un mauvais climat politique s’est installé ici qui peut leur redonner de l’oxygène. La politique grecque (...)