À mi-mandat, Nicolas Sarkozy est au plus bas dans les sondages avec 39 % d’opinion favorable. Comment expliquez-vous cette situation ?
François Miquet-Marty. Deux raisons principales. D’une part, le manque de projets, de perspectives d’avenir de la part du pouvoir. D’autre part, la majorité considère que le PS n’est pas suffisamment en mesure d’être un contre-pouvoir. Conséquence, les compétitions sont davantage internes à la majorité que (...)