Il est coléreux, Chirac et Sarkozy avaient aussi leurs colères.

Il se présente 3 fois aux présidentielles, Mitterrand et Chirac aussi.

Il est millionnaire ? Il ne touche que sa solde de député, pas plus que les 2/3 de l’hémicycle.

Il est laîque car il met au même rang les religions en dehors des lois de la République.

Il est prétendument antisémite car il critique l’apartheid d’Israël et les intégristes juifs autant que les intégristes chrétiens et musulmans.

Il est le seul aujourd’hui à s’être affronté à un candidat d’extrême droite à relent sexiste, raciste et pro vichyste.

C’est un tribun et chacun de ses discours est épluché mot par mot pour être commenté calomnieusement si possible et sans démentis.

Cela fait plusieurs années qu’il défend un programme issu de consultations de base, contrairement à ses adversaires.

Adversaires de droite bien sûr mais aussi de gauche. Il faudrait un candidat commun à la gauche mais pas Mélenchon. Pourquoi ? Qui a le plus grand score ?

D’après Ifop Figaro du 22 octobre, parmi les sympathisants de gauche, Mélenchon 25%, Hidalgo 15%, Jadot, 14%, Montebourg 10%, Roussel 6%. Il n’y a pas photo pour choisir un leader, surtout que bon nombre de points communs se retrouvent dans les propositions de ces candidats. Et bien non !

Autres défauts, il est ressenti comme un humaniste, un féru d’histoire de France et de la République, un défenseur de l’eau, de la répartition des richesses, de la protection de la nature, donc de l’homme. Il prône le retour à la fabrication locale, au circuit court, au savoir faire français, au travail partagé, etc…

Après, comme beaucoup, on ne lui trouve pas de qualité telle qu’on le présente quotidiennement. C’est un monsieur tout le monde, fort de ses convictions au service de la France, des citoyens, de l’humain.

Mais il faut l’abattre, c’est un danger pour la société libérale, financière et mondialiste.