En pleine dynamique de grève et d’action, le secteur de l’énergie se voit viser par une logique répressive maintenant courante depuis la mobilisation des Gilets Jaunes : mettre la pression par la justice. Le militant syndical est ressorti rapidement de sa garde à vue :

Les intentions sont clair, la répression judiciaire devient monnaie courante pour intimider ceux qui relèvent la têtes, comme les travailleurs de l’énergie qui depuis le début de la mobilisation lancé le 5 décembre, multiplie les coupures de courant localisé