Etat partiel de la mobilisation dans les universités au 28 octobre 0h (par SUD Etudiant)

jeudi 28 octobre 2010.
 

2) Etat des lieux de la mobilisation étudiante au 28 octobre 2010

Voici un état des lieux (non exhaustif) de la mobilisation étudiante aujourd’hui, jeudi 28 octobre. Si certains sites universitaires sont en vacances, la mobilisation commune des étudiant-e-s et des salarié-e-s, elle, ne prend pas de pause. Des assemblées générales interprofessionnelles se tiennent presque tous les jours dans plusieurs villes, et de nombreuses actions sont organisées quotidiennement. Les liens avec le mouvement des salarié-e-s permettent aux étudiant-e-s de formuler de nouvelles manières de se mobiliser. C’était le pari de Sud étudiant et c’est là que peut se trouver notre efficacité dans un mouvement qui ne faiblira pas, tant que des assemblées générales continueront de se tenir.

Nous revendiquons :

- Le retour aux 37,5 annuités de cotisations dans le calcul de la retraite

- L’âge de départ légal à 60 ans

- La validation des périodes d’étude, de stage et de chômage dans le calcul de la retraite

- La titularisation des personnels précaires des universités et l’augmentation massive des postes dans la fonction publique

- Le retrait pur et simple sans négociations

Et appelons à amplifier cette mobilisation naissante dès la rentrée.

A Aix (site Lettres Sciences Humaines),

Une assemblée générale s’est tenue mardi avec 200 à 250 personnes. Le site est en vacances mais la prochaine aura lieu jeudi prochain. Les étudiant-e-s se sont prononcé-e-s en grève. Pour l’instant il y a des barrages filtrants avec diffusion de tracts tous les jours. Une action a été organisée après l’assemblée générale. Une commission interprofessionnelle est chargée de contacter les secteurs en lutte et mettre en place la convergence pour une action étudiants/salariés par semaine. Une coordination jeune départementale a été votée lors de l’assemblée générale. Le nombre de personnes en assemblées reste constant de semaines en semaines.

A Angers,

Avant les vacances, une assemblée générale a eu lieu le jeudi 21 octobre et a rassemblé environ 900 étudiant-e-s, des enseignant-e-s et des lycéen-ne-s en grève. A été acté le blocage partiel avec suspension des cours lors des assemblées générales et des manifestations, la suspension des contrôles continus et des feuilles d’appels durant la grève. La prochaine assemblée générale aura lieu mercredi 3 novembre. Un cortège de plus de 5000 jeunes (dont un millier d’étudiant-e-s) a défilé le 19 octobre. Une manifestation est partie directement de la fac après l’assemblée générale du 21 novembre, avec environ 250 étudiant-e-s. Une forte participation aux actions interprofessionnelles (blocages de camions dans les zones industrielles, barrages filtrants, diffusions de tracts, assemblées générales interprofessionnelles). Les secteurs en lutte dans le 49 sont nombreux : communaux, éducation, cheminots, des boîtes privées, CHU, Impôts, PTT, etc.

A Bordeaux,

Bordeaux 1, 2, 4et l’IEP sont en vacances. Une assemblée générale a eu lieu à Bordeaux 3 lundi avec 700 personnes, où le blocage a été voté pour les journées de mardi 26 et de jeudi 28 octobre. La fac a néanmoins fermé administrativement pour la journée de mardi, et a décidé de banaliser les cours le jeudi 28. Une commission « interpro » du comité de mobilisation a été mise en place. Plusieurs actions de péages gratuits, transporteurs, etc sont prévues pour le reste de la semaine. Une assemblée générale avait lieu mercredi hier.

A Chambéry,

Les prochaines assemblées générales seront mardi 2 novembre sur deux des trois sites de l’université (Sciences et Sciences humaines). La dernière manifestation jeunes le jeudi 21 octobre, a rassemblé entre 500 et 600 personnes. Grâce à l’assemblée générale interprofessionnelle, des actions sont prévues tous les jours : de blocages de dépôts pétroliers, des opérations escargot, des péages gratuits et des manifestations de nuit au flambeau (demain soir) et de blocage de la zone industrielle. Les secteurs en lutte (reconductibles), surtout les cheminots et employés communaux (fermeture de quasi toutes les structures culturelles de la ville), mais d’autres secteurs partent dans le privé. Nombre de lycéen-ne-s sont victimes de sanctions dans leurs établissements (renvoi temporaire, menace de conseil de discipline...) pour cause de blocages.

Au Havre,

La fermeture administrative avait été mise en place par la présidence, la semaine dernière. Mardi, une quarantaine de jeunes (étudiant-e-s et lycéen-ne-s) étaient aux rassemblements, des collages d’affiches ont été organisés. Une assemblée interprofessionnelle a été mise en place et rendent compte des grèves reconduites dans plusieurs secteurs, une de ces assemblées se tient chaque jour. La prochaine assemblée générale étudiante aura lieu à la rentrée.

Sur l’IUFM de Rennes,

Malgré la période de vacances, une partie des étudiant-e-s reste mobilisée sur la question de la Masterisation et des retraites. La semaine qui a précédé ces vacances était une semaine de grève et de blocage, du jamais vu à l’IUFM de Rennes, en lutte avec des formateurs en grève et soutenus par des personnels BIATOSS. C’était de même le cas au Mans et à Saint-Brieuc. Au menu de ces vacances : rédaction de tracts, préparation de l’assemblée générale de la rentrée, diffusions de tracts prévue sur les marchés, et la préparation d’un forum éducation (historique, conséquences de la réforme passée de la Masterisation, activités pour les enfants, bouffe collective, débats ouverts, mur d’expression, prise de contacts et recherche de perspectives larges) ouvert à tou-te-s qui aura lieu le mardi 9 novembre à l’IUFM. Sur le front des retraites, les étudiant-e-s participent aux assemblées générales du secteur de l’éducation, aux manifestations et quelques actions. Un départ groupé de l’IUFM est prévu jeudi 28 octobre pour rejoindre le cortège Éducation.

A Montpellier,

Lundi 25 octobre s’est tenue l’assemblée générale de Montpellier 3 qui n’est pas en vacances. Le blocage de la faculté de lettres à été voté jusqu’à jeudi 28 à 1000 personnes sur 1200 présentes environ. L’occupation de nuit qui avait fait fermer l’université administrativement n’a pas été revotée. Mais l’occupation d’un amphi la journée a été maintenue et des piquets sont tenus devant les bâtiments. La prochaine assemblée générale se tiendra jeudi 28 octobre au matin. Les actions prévues sont en lien avec les salarié-e-s (de l’intersyndicale et en assemblée générale interprofessionnelle).

A Orléans,

La dernière assemblée générale a eu lieu le mercredi 20 octobre et avait réuni 350 étudiant-e-s. Il a été décidé de bloquer les jours d’actions, de manifestations et d’assemblées générales. Le blocage est effectif en UFR Sciences et en IUT Chimie. En UFR Lettres, le doyen a procédé à une fermeture administrative. La prochaine assemblée générale est prévue le mardi 2 novembre (jour de la rentrée). Jeudi dernier une manifestation unitaire avec les lycéen-ne-s a abouti à l’occupation pendant plusieurs heures du Conseil régional. Un rassemblement a par ailleurs eu lieu (étudiant-e-s, lycéen-ne-s, profs, cheminots) devant le Rectorat pour protester contre la lettre type envoyée sur ordre du ministère aux parents des lycéen-ne-s pour les dissuader de participer aux actions et manifestations de leur lycée. Des actions sont envisagées de type péage gratuit ainsi que des actions avec les cheminots qui sont en grève reconductible.

Sur Valenciennes,

Malgré les vacances, des actions sont néanmoins menées par l’intersyndicale (CGT-FO-SOLIDAIRES-FSU) comme le blocage des approvisionnements de Carrefour Aulnoy-les-Valenciennes hier, où des étudiant-e-s les ont rejoint. Demain dès 7H00, auront lieu une distribution de tracts au rond point place du Canada à Valenciennes puis une manifestation à 10h00.

A Lille 1,

Environ la moitié des UFR sont en interruption pédagogique jusqu’à mardi 2 novembre, les autres le seront à partir d’aujourd’hui (mercredi). Des assemblées générales personnels/étudiant-e-s régulières se tiennent depuis près de 3 semaines, regroupant 300 personnes. Des diffusions de tracts sont organisées tous les jours.

A Toulouse 3 (Paul Sabatier),

Une assemblée générale de 200 personnes (lundi 25 octobre) a revoté la grève. La prochaine est prévue mercredi 3 novembre. La dernière manifestation (avant les vacances) a regroupé plus de 7000 jeunes (lycéen-ne-s et étudiant-e-s du Mirail, et de Paul Sabatier). Beaucoup d’actions organisées de façon interprofessionnelle (blocage de centres industriels, blocage des dépôt de bus tous les matins, rassemblements et diffusions de tracts à la gare et à la Banque de France). Des futures actions de péages gratuits, de blocage de route et un lâcher de banderoles sont prévues sur la ville de Toulouse.

A Pau,

La faculté de Pau a été débloquée hier mercredi pour cause de vacances avec un millier de personnes en assemblée générale. La prochaine aura lieu le 2 novembre. Plusieurs actions de péages gratuits, manifestations de nuit à la lumière des torches ont été organisées la semaine dernière, et seront réitérées la semaine prochaine avec la reprise.

A Paris 1 Tolbiac,

Une assemblée générale deux fois par semaine se tiennent depuis 3 semaines. Les nombreux-ses étudiant-e-s présent-e-s ont d’abord voté le blocage total pendant trois jours. C’est maintenant le principe de grève les jours de mobilisation qui est appliqué sur décision de l’assemblée générale qui a réuni 1100 personnes. Les tentatives de réunions entre étudiant-e-s sur le site de la Sorbonne par ailleurs rattaché à Paris 1 entraînent systématiquement la fermeture par le Rectorat et les forces de police à l’entrée de la fac, ce qui constitue une atteinte aux droits et libertés de réunions.

A Paris 3 Censier,

La dernière assemblée générale s’est tenue le jeudi 21 octobre qui a réuni 350 personnes, la prochaine est prévue pour le 2 novembre, jour de la rentrée. L’occupation d’un des 2 amphis du site de Censier a été votée, ainsi que la grève la non-comptabilisation des absences des étudiant-e-s au moins jusqu’au 19 novembre. Les étudiant-e-s ont assisté aux dernières assemblées générales des personnels de la fac, et tentent de construire un mouvement commun, avec un maximum d’actions avec les salarié-e-s du 13ème arrondissement, notamment les cheminots de la gare d’Austerlitz (en grande partie grâce aux liens Sud-Étudiant/Sud-Rail qui se sont créés au début du mouvement). Une caisse de soutien aux cheminots grévistes d’Austerlitz, a été mise en place, et les liens se multiplient chaque jour avec les autres secteurs.

A Paris 4,

Un blocage a eu lieu au centre Clignancourt le jeudi 21 octobre au matin et s’est terminé par une fermeture administrative du centre l’après midi. La dernière assemblée générale a eu lieu le mercredi 20, elle a réuni environ 300 personnes. La prochaine aura lieu le mardi 2 novembre (pour cause de vacances) et sera certainement organisée de façon interprofessionnelle avec les personnels et les professeurs. Des étudiant-e-s vont à la rencontre des salarié-e-s dans les boîtes en grève (les éboueurs à Ivry et les cheminots à Gare du Nord). L’occupation du site de Clignancourt a été votée en assemblée générale et est prévue pour le mardi 2 novembre (jour de mobilisation).

A Paris 8 Saint-Denis,

La dernière assemblée générale a eu lieu le mardi 26 octobre et la prochaine sera elle aussi le mardi 2 novembre. Ces assemblées réunissent entre 200 et 400 personnes. Un appel à la grève a été lancé chez les enseignant-es ainsi que des assemblées générales par département. Des barrages filtrants et petits déjeuners sont organisés tous les matins. La faculté sera bloquée jeudi 28 octobre, journée de mobilisation nationale. Les étudiant-e-s sont très impliqué-e-s dans les assemblées générales interprofessionnelles de Saint-Denis (qui regroupent des profs (du primaire au lycée), des étudiant-e-s et des personnels de Paris 8, des communaux de Saint-Denis et La Courneuve, des postiers, des agents de la RATP, des chômeurs, des cheminots, des bibliothécaires, des retraités, des éducateurs, des lycéen-ne-s), qui se déroulent sur la fac elle même et décident de manifestations dans Saint Denis.

1) Etat partiel de la mobilisation dans les universités au 26 octobre 0h (par SUD Etudiant)

A l’heure actuelle, nous pouvons dénombrer :

* 19 sites universitaires sont actuellement complètement ou partiellement bloqués (grève avec piquets à l’entrée des bâtiments ou barrages filtrants).

* Des assemblées générales se sont tenues dans la quasi-totalité des universités.

* 3 universités sont en fermeture administrative suite à la décision de la présidence.

A Lyon,

Lyon 2 a été fermée administrativement sur décision de la présidence. La mobilisation prend de l’ampleur malgré la forte répression dans les manifestations. Des assemblées générales se tiennent à l’IEP et à l’École Normale Supérieure.

Les lycées sont très mobilisés. En ce qui concerne la répression policière, une association existe à Lyon pour organiser la solidarité et la mise en place d’une caisse de soutien.

Les lycéen-ne-s sont informé-e-s par cette association et les personnes arrêtées sont recensées pour être soutenues.

A Lorient,

Mardi dernier s’est tenue une assemblée générale d’une centaine de personnes à l’université et 20 000 personnes étaient en manifestation malgré une forte répression policière envers les jeunes, avec des tirs de flash-ball. La journée de mercredi a été l’occasion d’un rassemblement à la gare avec les salarié-e-s. Jeudi, 1200 lycéen-ne-s ont défilé dans la rue.

Vendredi, une action de blocage des camions de marchandise et des camions citerne près de la raffinerie au niveau de la zone industrielle a été l’occasion de continuer le lien avec les salarié-e-s.

A Chambéry,

La mise en place d’un comité de mobilisation permet de rassembler davantage d’étudiant-e-s en assemblée générale.

Des assemblées générales « de ville » se tiennent tous les jours. Les étudiant-e-s ont participé aux côtés des salarié-e-s au blocage des dépôts de bus mardi matin, et aux actions de péage gratuit.

En plus de subir les violences policières, les lycéen-ne-s sont aussi victimes de répression au sein des établissements. En effet des lettres sont envoyées a tous les parents par le rectorat sur la question du blocage et de leur assiduité (lettre immédiate envoyée en cas d’absence d’un lycéen, appels du CPE qui peuvent aller jusqu’au renvoi).

A Montpellier,

La dernière assemblée générale de la fac de Lettres du mardi 18 octobre a fait venir entre 900 et 1000 personnes, le blocage de l’université a été voté ainsi que l’occupation de l’amphi A, de jour comme de nuit. Une forte répression policière a compromis l’assemblée suivante. La fac est administrativement fermée jusqu’à aujourd’hui lundi 25 octobre. Le blocage n’ayant pas pu être revoté lors de l’AG prévue jeudi, reste effectif jusqu’à aujourd’hui 10h, heure de l’assemblée générale de ce jour.

La fac de Sciences a voté la coordination des universités Sciences/Lettres dans les luttes. Et a voté le blocage.

A Strasbourg,

Deux assemblées générales ont réuni autour de 200 étudiant-e-s. Un cortège jeune est de plus en plus massif dans les manifestations à Strasbourg.

A Poitiers,

Une assemblée générale a rassemblé 700 étudiant-e-s jeudi et a voté le blocage dans plusieurs sites de la ville. Le lien avec le mouvement des salarié-e-s est effectif par des actions de péage gratuit auxquels les étudiant-e-s participent massivement.

A Nancy,

Une assemblée générale a réuni plus d’une centaine lycéen-ne-s et d’étudiant-e-s. Les assemblées générales de la semaine passée ont réuni 200 personnes à la fac de Lettres, et 300 à la fac de Sciences.

Des blocages partiels ont lieu dans l’ensemble des lycées de l’agglomération Nancéenne, un peu plus de 1000 lycéen-ne-s dans la rue.

A Orléans,

Mardi matin a eu lieu le blocage de la fac de Lettres et de Sciences pour la journée de mobilisation qui a rassemblé 30 000 personnes dans les rues dont 5 000 jeunes.

Le principe du blocage les jours d’AG, de manifestations et d’actions a été voté mercredi et les liens se sont multipliés avec les lycéen-ne-s en lutte.

A Bordeaux,

Entre 1200 et 1300 personnes se sont rassemblées sur le parvis de la fac à Bordeaux 3 jeudi. La banalisation des cours pour les journées de mobilisation a été votée. A bordeaux 2, c’est une centaine de personnes qui se sont rassemblées afin de voter la mise en place de barrages filtrants.

A Rennes,

Toujours entre 1 500 et 3 500 personnes se réunissent en assemblées générales à Rennes 2, fermée administrativement par la présidence, reconquise, bloquée et occupée par les étudiant-e-s plusieurs fois par semaine.

Pour sa part, la fac de Rennes 1 commence à se mobiliser (300 personnes en AG).

L’IUFM de Rennes est bloqué et occupé avec une présence à hauteur de 90% des étudiant-e-s en assemblée générale.

L’IUT carrières sociales est lui aussi occupé par plus d’une centaine d’étudiant-e-s en assemblée générale.

L’IEP est bloqué, suite à une assemblée générale de 150 personnes.

Nous avons pu constater une très forte présence des étudiant-e-s tous les jours sur des actions de blocages économiques réussies : fermetures de centres commerciaux, dépôts pétroliers, de dépôts de bus et de plates-formes routières. En moyenne 35 000 personnes défilent dans les rues sur les dates de mobilisations nationales, dont 10 000 se déplacent les journées d’actions étudiantes et lycéennes.

A Paris,

Paris 1 Tolbiac a organisé quatre assemblées générales depuis la rentrée. Les deux dernières (mardi 19 et mercredi 20) ont pu réunir entre 400 et 1200 personnes, ont voté la grève et le blocage.

A Paris 10 Nanterre, les étudiant-e-s travaillent à établir un lien avec les salarié-e-s et les lycéenne- s grévistes. Beaucoup de lycées sont bloqués ainsi que beaucoup de salarié-e-s autour de la fac sont en grève. L’assemblée générale de jeudi a réuni 300 étudiant-e-s, et a voté la grève et le blocage pour le lendemain.

A Paris 3 Censier, deux assemblées générales ont eu lieu la semaine dernière et ont rassemblé 350 personnes à chaque fois. Les débats portaient essentiellement sur le besoin et les moyens de massifier le mouvement, sur le blocage et sur le lien avec les autres secteurs.

Paris 8 Saint Denis a voté la grève en assemblée générale le jeudi 21 et le blocage pour le mardi 26, avec la banalisation des cours de jour là. Les revendications votées sont la retraite à taux plein à 60 ans et la grève reconductible. La prochaine assemblée générale doit se tenir le mardi 26 à 10h.

Beaucoup de lycées sont bloqués autour de la fac. Une assemblée générale interprofessionnelle et inter lycées ont eu lieu à Paris8, deux manifestations inter professionnelles sont parties de la fac et ont rassemblé 800 et 500 personnes.


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