Retraites : Unis, la force est de notre côté (Mélenchon, PCF, Besancenot)

samedi 9 octobre 2010.
 

1) Retraites : "le rapport de forces est de notre côté", dit Jean-Luc Mélenchon

PARIS — Le président du Parti de gauche (PG), Jean-Luc Mélenchon, a assuré samedi dans la manifestation parisienne contre la réforme des retraites que le rapport de forces était favorable à la gauche et aux syndicats.

"Le rapport de forces est de notre côté", a-t-il affirmé devant quelques journalistes.

"L’espoir du gouvernement et du président de la République était que la mobilisation baisse, ça ne se produit pas (...) ; On nous dit qu’il y a au moins autant de monde que la dernière fois" lors de la journée de mobilisation du 23 septembre, a-t-il ajouté.

M. Mélenchon a souligné s’attendre à "une belle bagarre" au Sénat où le projet de réforme du gouvernement doit être débattu à partir de mardi. Il avait été adopté par l’Assemblée nationale le 15 septembre.

"Il y aura d’autres mobilisations", a aussi déclaré l’eurodéputé et ancien ministre (ex-PS), "on suit les consignes des syndicats, on a confiance, quand ils sont unis la force est de notre côté".

AFP

2) Faisons awoerther la "réforme" des retraites Video PCF sur les manifs du 2 octobre

http://www.dailymotion.com/video/xf...

3) RETRAITES : LA MOBILISATION EST "UN SUCCÈS" (BESANCENOT)

PARIS, 2 oct 2010

Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, a jugé samedi que la mobilisation contre la réforme des retraites était "un succès et "un bon indice de la préparation du 12" octobre, date de la prochain journée de grèves et de manifestations.

"C’est un succès. Sarkozy s’est gaufré en disant que le mouvement allait s’essouffler. Ca ne s’essouffle pas. C’est une marche supplémentaire de la mobilisation et c’est un bon indice de la préparation du 12", a-t-il estimé interrogé par l’AFP.

"La mobilisation continue et ça veut dire : y a un petit truc. On constate tous que dans les manifestations, ce n’est jamais les mêmes", a-t-il ajouté. "Dans le cadre du collectif unitaire, il y a des initiatives qui sont prises, notamment devant le Sénat, lors de l’examen du projet de loi mardi. On va se faire entendre".

Il a évoqué les heurts des infirmiers-anesthésistes avec les forces de l’ordre vendredi : "Quand il y a un gouvernement qui commence à taper sur le infirmières, ça lui coûte cher en général". Il a aussi évoqué "ce qui se passe dans les ports, les routiers". "Il y a un mécontentement et les gens sentent que c’est le moment de se faire entendre", a-t-il insisté.

AFP


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