Simple mythe fondateur pour les uns, réalité archéologique ou évidence linguistique pour d’autres : les Indo-Européens n’ont pas fini d’alimenter un débat scientifique parfois mâtiné d’idéologie et situé à la confluence de plusieurs disciplines. De la linguistique à l’archéologie en passant par la paléogénétique. De fait, c’est en se fondant sur l’analyse de l’ADN prélevé sur une trentaine de sépultures sibériennes, remontant jusqu’à 1 (...)