« Le verdissement du capitalisme n’est que du discours », explique Aurélien Bernier, spécialiste des questions environnementales. S’appuyant sur l’exemple des « droits à polluer », il démontre comment le capitalisme s’est emparé de ces questions pour en faire un nouvel objet de spéculation.
HD. Est-ce que le marché des « droits à polluer » a permis de protéger l’environnement puisque c’était son but affiché ?
Aurélien Bernier. Absolument pas. En Europe, (...)