mardi 23 juin 2009
par Marc Dolez, député du Nord, BN du PG
La Constitution permet désormais au Président de la République de prendre la parole devant l’Assemblée Nationale et le Sénat réunis en Congrès, alors qu’il n’assiste pas à la réponse des groupes politiques et qu’aucun vote n’est possible.
Attachés à la démocratie, les Députés communistes, républicains, du parti de gauche ont voté contre cette modification constitutionnelle qui renforce le poids du pouvoir exécutif – en fait le pouvoir d’un homme (...)