Pendant la crise, les prosélytes du libre-échange et les ennemis de la dépense sociale font le dos rond. Mais si, dans leurs salons ou leurs colloques, ils gardent le moral, ils le doivent au miracle d’une construction européenne qui a réalisé leur utopie… Et, quand on va les écouter, ils ne s’en cachent guère.
Il n’y a pas quelque chose qui vous surprend, vous, ces derniers temps dans le débat public ? Un silence d’or, une chape de plomb. Oui, c’est ça, (...)