Je n’ai jamais beaucoup vu les chrétiens aimer leur prochain. Encore moins pardonner leurs offenses. À l’inverse, j’ai plus souvent eu l’occasion de constater pendant les années où ils étaient censés m’éduquer qu’ils prenaient des libertés avec ces invites à l’éthique de la douceur pour lui préférer un nihilisme des valeurs et balancer des taloches, punir avec un raffinement sans nom, détester ici autant qu’ils chouchoutaient ailleurs, sans (...)