« Que le peuple français conserve la constitution de l’égalité (constitution de l’an 1) qu’il a acceptée dans ses assemblées primaires. J’avais juré de la défendre et de périr pour elle. Je meurs content de n’avoir point trahi mon serment ; je mourrais plus content si j’étais certain qu’après moi elle ne sera pas détruite et remplacée par une autre constitution, où l’égalité sera méconnue, les droits de l’homme violés, et par laquelle la masse du peuple se verra totalement asservie à une caste plus riche, seule maîtresse du gouvernement et de l’Etat. »