dimanche 3 mai 2009
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Pour l’heure, c’est comme si les rapports sociaux et leur représentation médiatico-politique évoluaient en sens inverse. Au fil de ces journées qui précèdent le 1er mai, un même constat monte de tous les secteurs du monde du travail. La crise radicalise les rapports sociaux. Partout les tensions s’accroissent, de l’ouvrier d’industrie frappé par les délocalisations à la noblesse hospitalo-universitaire soumise aux exigences croissantes de rentabilité dont elle (...)