J’espère bien. Parce que qu’est-ce qu’on a pu en entendre parler, en 2003, de la “capitalisation”. La capitalisation, c’était la solution magique au problème de financement des retraites. Puisqu’il n’y a pas assez d’argent en vrai, nous aurions tous du mettre notre argent dans une urne magique, appelée la Bourse, qui aurait rendu à chacun, une fois venus ses vieux jours, plus, beaucoup plus que ce qu’il avait mis dedans. On en (...)