Favori des médias dès son retour au Gouvernement en 2002, Nicolas Sarkozy a été depuis affublé de toutes les comparaisons. Berlusconiste par son rapport au peuple, il fut tour à tour perçu comme l’alter ego du libéral Aznar ou du toujours jeune Tony Blair.
Lui, il se préfère pragmatique. Les grandes théories rangées au placard, Nicolas Sarkozy a endossé les habits plus populistes d’un responsable proche du peuple et volontairement provocateur.
Un positionnement de rupture avec (...)