Les principaux partis socialistes d’Europe ont-ils effectivement renié leurs convictions et renoncé à leurs tâches ? C’est ce dont n’aiment parler, bien entendu, ni les traîtres eux-mêmes, ni ceux qui savent pertinemment - ou devinent confusément - qu’il leur faudra être en bonne amitié et en paix avec ces derniers. Mais, si désagréable que cela puisse paraître aux diverses "autorités" de la II° Internationale ou à leurs amis de fraction parmi les social-démocrates (...)