Aujourd’hui, en pleine tempête et face à la panique déclenchée par la crise, plus personne ne croit au dogme “néolibéral”, selon lequel les marchés fonctionnent à leur optimum quand on les laisse libres et que le gouvernement n’intervient pas dans l’économie. Rappelons, au passage, que le gouvernement américain, censé être le plus libéral de tous, n’a jamais “laissé faire” l’économie. Il l’a toujours régulée de près, que ce soit en (...)