Et ce n’est pas fini, il y a 62 000 milliards de CDS (credit default swaps) au bas mot, nul ne sait les chiffrer ; les effets économiques en cascade, bons et mauvais, sont devant nous.
Comme après l’auto affaissement, désagrégation de l’URSS, de 1989-1991, la dictature mondiale de la finance, de la spéculation entre dans sa phase d’autodestruction. Une page historique est tournée, des milliards d’humains vont voir peu à peu le monde autrement. (...)