Il n’y avait pas d’autres possibilité nous dit-on que d’accepter le plan de Sarkozy qui met (sous des formes diverses) 360 milliards d’euros à la disposition des banques. Pour Manuel Valls, cette acceptation serait même le critère qui différencie l’homme d’Etat de celui qui ne le sera jamais.
A ceux qui s’indignent que de telles sommes soient offertes à des spéculateurs dont les pratiques ont mis l’économie mondiale au bord du gouffre, il est (...)