Il semble que la classe politique et le patronat aient trouvé le bouc émissaire idéal dans la crise financière : les parachutes dorés obtenus par certains patrons au moment où ils sont congédiés par leur conseil d’administration. Certes, les millions d’euros ou de dollars obtenus sont proprement scandaleux, mesurés au sort qui attend les salariés des entreprises concernées. Mais n’est-ce pas l’arbre qui cache la forêt ?
Le capitalisme néolibéral a mis en oeuvre un (...)