Après le rejet du plan Paulson, la spirale de la crise financière commence à frapper le système bancaire en Europe. Le discours ronflant de Sarkozy à Toulon tentant de dédouaner le capitalisme n’est qu’une imposture de plus. Ce n’est pas aux salariés de payer la crise alimentée par la spéculation financière.
Les banques, les compagnies d’assurances, les sociétés de crédit, les fonds de pension ou d’investissement, le patronat sont responsables de la crise (...)