À l’échelle de la planète, des centaines de milliers, voire des millions de femmes et de fillettes sont, chaque année, recrutées, achetées, vendues et louées par des réseaux de prostitution. Cette industrie profite autant d’une culture hypersexualisée que de la monétarisation des rapports sociaux typiques du capitalisme néolibéral mondialisé.