Le capitalisme, un système de trouillards qui s’enrichissent sur les peurs des autres.
C’est l’angoisse de la mort qui engendre l’accumulation capitaliste. Et les peurs savamment entretenues qui font prospérer les profits. Au-delà de ces peurs, il y a la vie !
Un an après la crise des subprimes (prêts immobiliers à risque), la peur semble avoir durablement évincé la fameuse confiance nécessaire à la bonne marche des affaires : les banques se méfient de tout, les (...)