On ne devrait jamais accepter de bosser pour des clous. Jamais.
Parce que, déjà, ça ne permet pas de vivre.
Et aussi parce que cela te coince pour longtemps dans la case des larves sans amour propre que l’on peut molester à loisir pour trois baffes, une poignée de cacahouètes et un grand coup de pied dans les couilles.
Grouillot un jour, grouillot toujours
J’ai quitté la fac à l’automne 1996, avec un DEA en Sciences Sociales que j’avais arraché de haute lutte à (...)