Cela commençait à sentir le roussi. L’ex-brigadiste Marina Petrella, embastillée depuis une année dans l’attente de son extradition vers l’Italie, ne pèse plus que 38 kilos. En « abandon de vie », selon les termes de ses soignants, la femme a été libérée mardi par la Cour d’appel de Versailles. Elle pourra être soignée dans la dignité, même si le décret d’extradition qui pèse sur elle reste valable, en attendant que le Conseil d’Etat français, (...)