Paris le 4 aout 2008,
Philippe,
Tu dois être fier de toi de m’avoir, comme tout bon patron qui se respecte, viré comme un malpropre (et sans indemnité), depuis le temps que tu en rêvais.
Le hic, c’est que tu es tombé sur un os. Le "vieux" te donne du fil à retordre et, si j’en crois la rumeur, le fil en question est plutôt barbelé ! Cette peu glorieuse attitude ne m’étonne pas de toi, mais celle de l’équipe à la fois pute et soumise, me bouleverse, sauf (...)