Il est rare que, dans les débats constitutifs des comités pour un nouveau parti anticapitaliste (NPA), la question « Pourquoi un parti ? » ne surgisse pas. Se mêlent alors la mise en cause générale de « la forme parti » (souvent au profit de « réseaux ») et le bilan négatif des expériences vécues au sein de partis réellement existants.
Les « réseaux » ont un avantage, tant qu’ils sauvegardent effectivement les capacités de contrôle et d’initiative locales. Il en est ainsi si, (...)