Le capital a plongé l’humanité dans la plus grave crise financière, économique, sociale et écologique de son histoire, et n’en poursuit pas moins ses prédations sur les peuples du monde entier. Ce mode de production, fondé sur la marchandisation et l’exploitation de la vie humaine et de l’écosystème, n’est pas une fatalité. Cette formation sociale et historique n’est ni tombée du ciel, ni consubstantielle à une prétendue « nature humaine », qui élirait (...)