L’homme comme être générique Par Denis Collin
Nos conditions matérielles d’existence, nous ne les trouvons pas toutes prêtes. Il faut les produire et non se contenter de prélever dans le nature ce qui est nécessaire à notre subsistance. Les écologistes ont coutume de dénoncer l’homme comme le plus grand des prédateurs. Mais c’est une grossière erreur. Le prédateur s’approprie la proie que la nature lui offre … et si la proie habituelle du prédateur (...)