Dans un article intitulé "La chanson du bourreau", le journaliste Assaf Uni revient sur les notions de bourreau et de victime qui sont au centre du roman qui met en scène l’action d’un officier nazi au cours de la seconde guerre mondiale.
Jonathan Littel indique tout d’abord qu’il ne se considère pas lui-même comme juif, même si son père l’était, car n’étant pas pratiquant...
Il tient également à se démarquer de l’utilisation de termes comme (...)