C’est le "cri de colère, de douleur et d’alerte", qu’ont signé la semaine dernière quarante-six détenues de la maison d’arrêt des femmes de Fresnes (Val-de-Marne). Une démarche rarissime, ne serait-ce qu’en raison des difficultés pratiques pour pouvoir s’organiser collectivement et faire passer un tel message à l’extérieur.
A l’origine de cette mobilisation, la mort de Lucilia, 28 ans, le 18 janvier. Depuis plusieurs mois, "Lu se plaignait de (...)