... Il y a deux ans déjà, en ma qualité d’intervenant musulman, j’ai été interpellé lors d’un colloque par des citoyens qui se désolaient de voir se multiplier des tchadors sur la place publique, en plein centre de Marseille. L’indignation et le désarroi d’un photographe était poignants : il ne supportait pas de devoir subir cette horreur noire, là où Doisneau surprenait des baisers et la joie de vivre au coin de la rue. « La présence des tchadors, dans (...)