Comparés aux personnes qui occupent un logement ordinaire, les sans-domicile aidés vivent plus souvent seuls et disposent de faibles revenus. La plupart sont inactifs, au chômage ou occupent des métiers très peu qualifiés d’ouvriers ou d’employés. En outre, nombre d’entre eux ont connu des événements difficiles : immigration, séparation, décohabitation précoce, décès d’un des parents pendant l’enfance.
Quant aux anciens sans-domicile qui habitent à présent un (...)