« Chaque jour on entend des propos, de plus en plus décomplexés, où l’apologie de crimes devient presque un exercice de style. Ils se donnent la main sur les plateaux télé, font tourner les mêmes visages, les mêmes discours, pour taper sur les mêmes qui dénoncent l’injustice. La réalité c’est Gaza et Rafah rasés, les femmes et les enfants brûlés vifs, les journalistes palestiniens tués dans l’exercice de leur métier, simplement parce qu’ils osaient montrer ce que d’autres voudraient cacher.