Thomas Porcher dépeint le chef de l’État comme un libéral très dur depuis ses premiers jours. Il dresse un bilan qui a enrichi les plus riches, et appauvri les pauvres comme les classes moyennes. L’économiste parle aussi du rapprochement libéralisme et conservatisme en citant les lois immigration. Réforme des retraites, réformes assurance-chômage, durcissement de l’accès aux droits et du code du travail…