Jean-Luc Mélenchon, sénateur de l’Essonne et représentant de l’aile gauche du PS, qui avait appelé à voter "non" en 2005, est l’un des rares socialistes à se prononcer vigoureusement pour un refus, par son parti, du traité de Lisbonne.
Pourquoi vous opposez vous à ce nouveau traité ? Le contenu du texte est exactement le même que le précédent, à l’exception des dispositions qui choquaient les nationalistes, comme le drapeau ou l’hymne, qui ont été retirées. (...)