En 12 pages, l’ONU brosse le portrait sans ambiguïté d’un État où les forces de l’ordre imposent « fréquemment et de manière disproportionnée des contrôles d’identité, des arrestations et des amendes forfaitaires à certaines minorités » et où l’on mène « [d]es politiques migratoires toujours plus rétrogrades ».