La souveraineté réside dans la Nation et s’exprime à travers ses représentants élus. Maximilien Robespierre, très attaché à ce principe, ne limite pourtant pas l’action populaire à l’élection. Le peuple doit constamment être informé des agissements de l’Assemblée afin d’approuver ou de contester l’usage du pouvoir confié – la souveraineté n’est donc pas abandonnée aux députés. C’est pour cela qu’il réclame dès 1789, la liberté de la presse qui « est une partie inséparable de celle de communiquer ses pensées ».