Le libéralisme comme le fascisme se présentent comme des idéologies correspondant au comportement humain naturel : l’homme est un loup pour l’homme. L’essence de notre espèce serait de chercher prioritairement la réussite personnelle (être le plus riche, le mieux habillé, propriétaire de la plus luxueuse habitation et de la plus grosse voiture...).
Il faudrait laisser cette jungle libre sur le plan économique pour dégager la meilleure synthèse possible grâce à la main (...)