Quand le pantin de la République rit des noyés des Kwassa Kwassa, pour se la jouer décontracté, la classe médiatique au service du pouvoir excuse (on parle pourtant du président de la République supposé maîtriser son expression en public). Dans le cas de Jean-Luc Mélenchon, on le sait pour la moindre vétille, jamais les mots ne seront assez durs à son égard