Le syndicat de la magistrature dénonce « l’instrumentalisation des drames récemment vécus par deux fonctionnaires de police, bien commode pour nos élus et nos ministres qui espèrent ainsi faire oublier le renoncement des gouvernements qui se sont succédé à faire des forces de l’ordre de véritables agents de la paix publique, et à améliorer leurs conditions de travail et leur formation ».